Pour le printemps-été 2026, Chitose Abe livre une déclaration magistrale de l’ADN sacai.
Au Centre Pompidou, Issey Miyake imagine un vêtement vivant, autonome, en dialogue sensible avec le corps.
Un défilé incandescent où l’instinct brut défie la rigueur, entre désir primal et élégance.
Pour le printemps-été 2026, Ludovic de Saint Sernin redéfinit la noblesse comme une force de liberté sensuelle et collective.
En voulant ressusciter l’esprit Gaultier, Duran Lantink l’a peut-être trahi. Son premier défilé pour la maison, “Junior”, divise violemment : génie provocateur pour certains, irrespect total pour d’autres.
À l’UNESCO, Chemena Kamali explore l’espace délicat entre couture et simplicité. Une ode à la femme Chloé : libre, sensuelle et profondément moderne.
Pour son premier défilé, Magda Butrym fait de l’imperfection une attitude et du chic une pulsion. Une ode à la sensualité spontanée, entre cuir, dentelle et audace polonaise.
Pour le printemps-été 2026, Alessandro Michele mêle douceur nostalgique et manifeste poétique dans une collection incandescente.
Chez Celine, le foulard ne se noue plus, il se raconte — entre mémoire, mouvement et métamorphose.
Hermès fait galoper l’allure féminine entre cuir et liberté. Une collection comme un vent salé sur la peau : puissante, sensuelle, indomptée.