Avec C+, Coperni invente une mode régénérative où l’anatomie s’habille d’intelligence et de soin.
Pour le printemps-été 2026, Thom Browne signe une odyssée interstellaire où l’élégance classique flirte avec l’inconnu.
Pour le printemps-été 2026, Miuccia Prada signe une ode puissante au travail des femmes, entre force, beauté et mémoire.
Entre liberté solaire et audace artistique, Zimmermann célèbre une bohème australienne réenchantée.
Pour son premier défilé chez Chanel, Matthieu Blazy réveille l’esprit de Gabrielle avec une conversation entre passé et futur, où la liberté devient matière et mouvement.
Pour le printemps-été 2026, Chitose Abe livre une déclaration magistrale de l’ADN sacai.
Au Centre Pompidou, Issey Miyake imagine un vêtement vivant, autonome, en dialogue sensible avec le corps.
Un défilé incandescent où l’instinct brut défie la rigueur, entre désir primal et élégance.
Pour le printemps-été 2026, Ludovic de Saint Sernin redéfinit la noblesse comme une force de liberté sensuelle et collective.
En voulant ressusciter l’esprit Gaultier, Duran Lantink l’a peut-être trahi. Son premier défilé pour la maison, “Junior”, divise violemment : génie provocateur pour certains, irrespect total pour d’autres.