Pour son printemps-été 2026, Victoria Beckham explore la grâce imparfaite des débuts, entre nostalgie et audace contemporaine.
De Bowie à Bianca Jagger, Harris Reed fait vibrer Nina Ricci au rythme d’un rock’n’roll couture.
Pour son défilé printemps-été 2025, Alice Vaillant retourne à l’Opéra Bastille, lieu fondateur de son histoire personnelle, et y déploie une collection vibrante où chaque silhouette devient un mouvement.
Au Dojo Arena de Paris, Christian Louboutin a transformé un stade en scène flamboyante pour son défilé Printemps-Été 2026.
La créatrice mêle fluidité bohème et accents utilitaires dans une odyssée solaire et nocturne.
Pour son premier défilé chez Mugler, Miguel Castro Freitas fait renaître la figure mythique de la showgirl en une ode envoûtante à la dualité du désir.
Au Centre Pompidou, Daniel Roseberry offre une collection Schiaparelli qui brouille les frontières entre mode, musée et émotion pure.
Julien Dossena imagine une nostalgie stylisée des années 1950, réinventée en un manifeste sensuel de rupture.
Pour son défilé printemps-été 2026, Olivier Rousteing dévoile "Continuum", une ode lumineuse à la mer, au sable et aux souvenirs d’enfance.
À Paris, Acne Studios propose une vision multiple de la féminité, entre subversion, grâce et énergie androgyne.
Pour le printemps-été 2026, Haider Ackermann insuffle à la maison Tom Ford une sensualité épurée, entre éclats nocturnes et lumière renaissante.
Entre héritage engagé et innovations textiles, Stella McCartney dessine une mode consciente et poétique.
Pour son premier défilé femme chez Dior, Jonathan Anderson orchestre une révérence audacieuse à l’histoire.
Pour le printemps-été 2026, Dries Van Noten plonge dans l’énergie brute de l’océan et la grâce instinctive des surfeurs au crépuscule.
Au cœur du Louvre, dans les anciens appartements d’été d’Anne d’Autriche, Louis Vuitton signe un défilé aussi intime que grandiose. La collection printemps-été 2026 réinvente la liberté vestimentaire et célèbre le luxe suprême : s’habiller pour soi.
Entre beauté militante, glamour incandescent et performances envoûtantes, L’Oréal Paris a transformé son huitième défilé en ode à la sororité et à la puissance féminine.
Maximilian Davis revisite les années 1920 avec une modernité saisissante, entre archives précieuses et liberté réaffirmée.
Louise Trotter signe une première collection hommage, où passé, présent et artisanat s'entrelacent.
Entre douceur éthérée et mystère nocturne, David Koma redéfinit la féminité pour le printemps-été 2026.
La Maison puise dans ses archives pour révéler une sensualité profonde, instinctive et intensément libre.